Sablés apéritif lentilles et thym #vegan #sansgluten

Vite vite une petite recette qui peut vous servir pour les fêtes.
Vous avez visiblement beaucoup apprécié mes petites étoiles « zimtsterne », j’en suis ravie.

Aujourd’hui des petits biscuits à nouveau, mais version salée.
Des sablés pour l’apéritif, avec très peu d’ingrédients, hyper rapides, originaux, sans gluten, qui se conservent très bien : c’est plutôt sympa non ?
C’est un cadeau fait par une amie très chère à mon coeur qui m’en a donné l’idée. J’en ai fait une version sans gluten, parfumée au thym.
Vous pouvez les customiser avec des graines sur le dessus, d’autres parfums : pourquoi pas cumin, curry, ou origan ?
Bref, comme souvent ici, une base à décliner selon votre imagination.
Et n’oubliez pas que ça me fait toujours très plaisir de voir ou lire vos versions personnelles.

Je vous rappelle aussi ces petits sablés-là, sans gluten, que je fais régulièrement, au persil, noix de cajou, et ail. Sont mioumissimes.

Sablés apéritif lentilles et thym #vegan #sansgluten

Pour une vingtaine de sablés
100 g de lentilles vertes
100 g de farine de riz complet
Thym
1/2 càc poudre à lever
1 càs de moutarde
30 g d’huile d’olive
Sel
Graines de courge

Préchauffer le four à 180°C.

Moudre les lentilles pour les réduire en poudre la plus fine possible, comme une farine. J’utilise un moulin à café électrique. On trouve aussi de la farine de lentilles dans certains magasins bio, mais la farine fraîche a beaucoup de goût.

Mélanger les ingrédients secs.
Ajouter la moutarde, l’huile d’olive.
Verser progressivement un peu d’eau jusqu’à obtenir une boule de pâte homogène.

Étaler la pâte sur environ 5 mm d’épaisseur.
Former les biscuits à l’aide de l’emporte-pièce de votre choix.
Planter une graine de courge dans chaque biscuit.
Déposer les biscuits sur une plaque recouvert de papier cuisson.
Enfourner pour une dizaine de minutes environ.

Zimtsterne – Étoiles à la cannelle #vegan #sansgluten

Jingle bells, Jingle bells
Jingle all the way !
Oh what fun it is to ride
In a one horse open sleigh

Non non non, ne me remerciez pas : ce petit air va vous accompagner toute la journée et vous allez m’adorer je sais.

Ne vous plaignez pas, je vous ai épargné Tino.

Maintenant qu’on est dans l’ambiance, on peut passer aux choses sérieuses.
Et donc répondre à la question : « Qu’est-ce qu’on mange à Noël ? »
Je vous ai fourni un élément de réponse ici. Vous en trouverez d’autres par ici également.

L’année dernière, mes petits vanille kipferls avaient rencontré un vif succès.
Eh bien sachez que les petites choses que je vous propose aujourd’hui ont d’ores et déjà intégré le top 3 de mes biscuits préférés : ils sont FA-BU-LEUX. (c’est quand la St Modeste déjà ?)
Impossible de s’arrêter quand on commence à piocher dans la boîte.

Les zimtsterne, comme les kipferls, font partie de la tradition des bredele, ou biscuits de l’Avent, qu’on retrouve en Alsace et en Allemagne.
Ce sont des biscuits que l’on fabrique en grande quantité, dès le mois de Novembre, qui se conservent longtemps, et que l’on offre aux visiteurs, accompagnés d’un vin chaud, café ou thé.
Il en existe de nombreuses variétés.
Les zimtsterne sont des étoiles à la cannelle, à base d’amande. La recette traditionnelle contient du blanc d’oeuf. Je l’ai remplacé par un oeuf de lin, et j’ai utilisé un mélange d’amande et noisette.

Vous connaissez mon habitude de réduire au maximum les quantités de sucre.
Ces biscuits sont donc exceptionnellement plus sucrés que ce que je vous propose d’habitude.
Toutefois je vous conseille de conserver le poids de sucre indiqué. Le glaçage apporte toute sa douceur aux biscuits.

Ces biscuits de l’Avent s’intègrent à merveille dans l’éco-défi proposé par Natasha du blog Échos Verts, et mon amie Lili du blog Au Vert avec Lili : un calendrier de l’Avent de gourmandises végétales à offrir.

Chaque jour une blogueuse différente vous propose une gourmandise végétale à offrir.
Hier vous avez pu découvrir les astucieux et délicieux « cookies in a jar » de Lili.
Demain rendez-vous chez Vicca, du blog « The Veggie Side » , pour une autre gourmandise.
N’oubliez pas de vous inscrire ici pour recevoir une jolie surprise dans votre boîte mail le 25 Décembre.

Zimtsterne – Étoiles à la cannelle #vegan #sansgluten

Pour 16 étoiles environ
100 g d’amandes
100 g de noisettes
100 g de sucre glace (moudre du sucre blond de canne pour le faire maison)
2,5 càs cannelle (à ajuster selon les goûts)
3 càs de graines de lin (20 g)Glaçage :
100 g de sucre glace
1,5 càs de lait végétal

Moudre les graines de lin. Ajouter 9 à 10 càs d’eau.
Laisser reposer 20 min.
Faire mousser au fouet électrique.

Mélanger les poudres d’amande et de noisette, le sucre glace et la cannelle.
Incorporer progressivement 50 à 60 g de la préparation aux graines de lin, suffisamment pour amalgamer l’ensemble en une boule de pâte homogène, non collante ( Il restera donc de la préparation aux graines de lin).

Saupoudrer un peu de sucre glace sur du papier sulfurisé.
Étaler la pâte sur une épaisseur d’environ 1 cm.
Découper les biscuits à l’aide d’un emporte-pièces.
Laisser sécher 24 h à température ambiante.

Le lendemain, préchauffer le four à 150°C et cuire les biscuits 10 min.

Préparer le glaçage en ajoutant 1 càs de lait végétal au sucre glace pour obtenir une texture assez épaisse qui s’étale sur le biscuit sans couler. Procéder à un test sur un biscuit et ajuster si nécessaire le sucre ou le lait.

Recouvrir les biscuits à l’aide d’une petite cuillère.

Christmas parmentier céleri, châtaignes, champignons #vegan #sansgluten

Je ne sais pas chez vous mais ici il est difficile de se mettre dans l’ambiance de Noël avec une météo quasi printanière.
Mon lézard interne savoure ces températures hors normes (et par ailleurs inquiétantes n’en doutons pas…), mais je dois dire qu’à la période de Noël, j’aime les paysages enneigés, un bon feu de cheminée, m’emmitoufler dans un plaid avec un chocolat chaud, etc…
Bon soyons honnêtes, ici dans le Var c’est évidemment assez rare, voire inimaginable, mais mes Noël d’enfance se sont déroulés ainsi et j’aime à retrouver ces sensations.

Difficile donc, disais-je, de se mettre dans l’ambiance.
Et pourtant le décompte a commencé, le jour J approche, et à chaque fois c’est la même chose, quand on reçoit : « Quid du menu ? »

Traditionnellement, à la maison, on opte pour un buffet pour le réveillon du 24, et un repas à table le jour de Noël.
Hors de question pour ma part de passer la matinée du 25 à stresser en cuisine : il faut que tout soit prêt à l’avance, ou presque.
L’an dernier, j’avais opté pour un feuilleté. Je vous avais également proposé une terrine rustique-chic pruneaux-châtaignes-pistache-cognac (tout ça oui).

Cette année, j’ai décidé de twister un classique en version Christmas time : le hâchis parmentier.
J’ai opté pour une purée pommes de terre-céleri, plus raffinée.
Pour le hâchis, j’ai utilisé des produits typiques de la période de Noël : châtaignes et champignons.
L’ensemble donne un plat simple mais raffiné, qui plaira à tous.
Il se réchauffe très bien. Et finalement il demande assez peu de préparation.
J’ai choisi une présentation en cercle, mais vous pouvez opter pour le grand plat à gratin, ou encore des plats individuels.

Je déclare donc les festivités ouvertes (même avec 15°C au thermomètre !). Et promis les photos ont été prises ces derniers jours et pas en plein été.

Et si voulez décompter les jours avec gourmandise, et trouver plein d’idées de cadeaux gourmands à offrir, n’oubliez pas de suivre le calendrier de l’Avent lancé par Natasha du blog Échos Verts, et Lili du blog Au Vert avec Lili.
Elles ont réuni 23 blogueuses (dont je suis très heureuse de faire partie), qui vous proposent chaque jour une gourmandise végétale à confectionner pour offrir (ou à déguster soi-même, on a le droit aussi).
N’oubliez pas de vous inscrire ici : vous aurez ainsi la joie de recevoir une jolie surprise le 25 Décembre.

Christmas Parmentier céleri, châtaignes ,champignons #vegan #sansgluten

Pour 8 à 12 personnes (j’ai fait 12 portions comme sur les photos : si vous avez apéritif, entrée, dessert, et que vous accompagnez le parmentier d’une salade de mâche par exemple, je pense que cela peut suffire. Pour un repas plus frugal, comptez des portions plus importantes)

La purée
700 g de pommes de terre spéciales purée
300 g de céleri-rave
2 gousses d’ail (en option)
200 ml de lait de soja
3 càs d’huile d’olive
Muscade
Sel, poivre

Éplucher les légumes et les couper en morceaux.
Ajouter les gousses d’ail épluchées si vous le souhaitez.
Recouvrir d’eau salée à hauteur.
Cuire à couvert.
Égoutter.
Vous pouvez à ce stade ôter ou conserver les gousses d’ail.
Verser le lait de soja, l’huile d’olive.
Écraser à l’aide d’un presse-purée.
Ajouter la muscade, le poivre. Saler si nécessaire.
Réserver.

Le « hâchis »
400 g de champignons de Paris
200 g de châtaignes cuites
1 oignon
1 ou 2 gousses d’ail
1 càs d’huile d’olive
60 g de protéines de soja textures fines (PST)
25 cl d’eau bouillante
4 càs de sauce soja
1 càs de miso
1 càs d’ail semoule

Mettre à tremper 20 min les PST dans le mélange eau bouillante + sauce soja + miso + ail semoule.
Égoutter en conservant le bouillon.

Émincer ail, oignons et champignons.
Couper les châtaignes en petits morceaux.
Faire revenir l’ail et l’oignon dans l’huile d’olive.
Ajouter les champignons. Cuire quelques minutes.
Ajouter les châtaignes.
Au bout de quelques minutes, incorporer les PST.
Remuer. Cuire 7 à 8 minutes.
Verser le bouillon.
Poursuivre la cuisson jusqu’à ce que le bouillon soit absorbé.
Goûter et rectifier l’assaisonnement : ajouter 2 à 3 càs de sauce soja si nécessaire, ou du sel si vous préférez. Poivrer.

Assembler le parmentier comme vous le désirez.
N’oubliez pas de parsemer le parmentier de quelques noisettes concassées : elles vont toaster dans le four et apporteront une délicieuse touche croquante.

Pour la cuisson , en petits cercles, j’ai juste passé dans le four 7 à 8 min à 180°C. Il faudra bien évidemment ajuster ce temps en fonction de la présentation que vous aurez choisie.

Salade de chou rouge, châtaignes, pommes, raisins, noix #vegan #sansgluten

Délaissons un peu les courges et leur belle couleur orange (mais elles devraient revenir vite ; ne croyez pas vous en tirer comme ça).
Passons au violet et aux choux (j’adore définitivement les légumes d’hiver, tellement colorés).
Vous n’êtes donc pas à l’abri d’une nouvelle épidémie sur le blog, crucifère cette fois, car je crois que c’est la famille de légumes que je préfère, avec les cucurbitacées (oui j’ai décidé d’employer des mots savants : pas toujours évidents à placer dans une conversation alors je me lâche sur le blog).

Connaissez-vous toutes les vertus des choux ?

Petit mémento :

– Tout d’abord le chou a un faible apport calorique (100 g de chou c’est seulement 22 calories) associé à un pouvoir élevé de satiété : c’est donc l’allié de ceux et celles qui font attention à leur ligne. D’où sans doute les fameux régimes « soupe aux choux » tellement à la mode à une époque. Et sans doute aussi une des raisons du désamour que beaucoup ressentent à leur égard. Cette image d’aliment-régime les a longtemps desservis. Mais ils ont su retravailler leur image, et ils sont maintenant les rois des étals de légumes d’hiver : il sont si beaux en plus.

– Le chou est riche en vitamines et minéraux, il est reminéralisant, tonifiant, et renforce nos défenses naturelles. Il est conseillé de le consommer cru au maximum pour préserver toutes ses propriétés.
Ils sont particulièrement riches en vitamine K, qui joue un rôle important dans la coagulation du sang. (attention donc si vous prenez un traitement anti-coagulant. Il vous faudra peut-être limiter votre consommation. Prenez conseil auprès de votre médecin).
Ils sont également une bonne source de vitamines C et B.

– Des études ont montré qu’une consommation régulière de choux aurait un rôle protecteur contre certains cancers. Les composés phénoliques (des antioxydants) du chou ont démontré de fortes capacités à freiner la croissance des cellules cancéreuses, avec une mention spéciale pour le chou rouge (de manière générale les fruits et légumes rouges ou orange sont les plus riches en antioxydants : associez des légumes de couleurs différentes dans vos assiettes pour bénéficier des différentes vertus de chacun).

– Très riches en fibres, ils sont les alliés des transits difficiles.

– Les choux sont de bonnes sources de calcium, et qui plus est sous une forme facilement assimilable. Mention spéciale ici aux choux frisés et brocolis (de manière générale les légumes verts à feuilles). Pour assimiler le calcium, il faut l’associer à la vitamine D. On devrait d’ailleurs être beaucoup plus attentifs aux carences en vitamine D qu’à une éventuelle carence en calcium. Une exposition au soleil des bras, mains et visage, d’environ 15 minutes 2 à 3 fois par semaine suffit en principe. Une supplémentation peut être nécessaire en hiver dans certaines régions, ou pour certaines personnes.

– Autre intérêt, hors cuisine celui-ci, mais preuve des vertus incroyables des choux, ils sont utilisés de manière externe, en cataplasmes, un peu à la manière de l’argile.

Les choux sont par ailleurs très économiques. Avec un beau chou rouge ou blanc, je fais facilement 3 fois une salade pour 4 personnes.

Bons, beaux, de véritables alliés pour notre bien-être et notre santé, peu chers : autant de bonnes raisons de les mettre au menu le plus souvent possible.
D’autant plus qu’avec toutes les variétés de choux qui existent, et les dizaines de manières de les cuisiner, impossible de s’en lasser.

C’est sous forme de salade que je vous propose aujourd’hui de déguster le chou rouge. Associé à des aliments de saison très intéressants sur le plan nutritionnel (il faudra qu’on parle du miso d’ailleurs, qui vous veut du bien), voilà une assiette hivernale qui met en joie, pleine de couleurs, parfaite pour faire le plein de vitamines, minéraux, anti-oxydants : de la superfood quoi.

Si vous aimez le chou croquant, préparez-la peu de temps avant de passer à table, sinon laissez-la reposer 1 h environ : le chou s’attendrira un peu.

Pour en faire un plat complet, vous pouvez par exemple ajouter des dés de tofu fumé, ou la servir avec des nouilles soba.

Salade de chou rouge, châtaignes, pomme, raisins, noix #vegan #sansgluten

Pour 4 personnes
1/3 de chou rouge
1 pomme
150 g de châtaignes cuites
50 g de raisins secs
8 noix
Facultatif : persil
Pour la sauce :
3 càs de vinaigre de cidre
2 càs d’huile (noix, olive…)
1 càs de miso blanc

Émincer finement le chou rouge au couteau ou à la mandoline.
Couper la pomme et les châtaignes en petits dés.
Concasser grossièrement les cerneaux de noix.

Mélanger tous les ingrédients de la sauce.
Verser sur la salade et bien mélanger.
Rectifier l’assaisonnement si nécessaire.
Saupoudrer de gomasio au moment de servir.

Bundt cake au potimarron #vegan

Si si, j’ai osé : encore du orange, encore de la courge.
Je vous avais prévenus hein ?
Et j’ai encore plein de recettes sous le coude.
Mouahahah.

Reconnaissez qu’il en jette ce gâteau.
Le bundt cake, emblématique gâteau des USA, n’est en fait pas une recette mais tire son nom du moule : le bundt pan.
L’origine vient du « bundkuchen » , autre nom du kougelhopf, ou kouglof.
Les recettes de bundt cakes sont donc en réalité des recettes de cakes.
Bah oui.

La plupart du temps, ils sont nappés d’un glaçage ou d’une sauce, parsemés de petites choses gourmandes.
Bref, c’est l’occasion pour les américaines de laisser parler leur goût pour le « cake design » : et si je ne suis pas adepte de tous leurs gâteaux bien clean enrobés de pâte à sucre, je dois dire que je bave devant les photos de bundt cake, beaucoup plus gourmands à mon avis, avec leurs sauces dégoulinantes et leurs toppings.

Et puis c’est hyper gourmand de couper de grosses parts : beaucoup plus funky qu’une bête part de cake.
Alors à l’approche de Thanksgiving, fête si chère aux américains, voilà un joli gâteau de fête non ?
Avec le potimarron à l’honneur, comme ils aiment si bien à le cuisiner.
Un vrai ticket pour les States.

J’avais trouvé mon moule chez Casa, pour une bouchée de pain. (pas comme THE moules à bundt cakes qui font rêver, mais qui coûtent un bras)
Vous pouvez bien entendu réaliser la recette dans un moule à cake.
Les quantités sont plus impressionnantes que dans mes recettes habituelles, mais il s’agit d’un GROS gâteau, qui correspond à 2 cakes.
Il est hyper moelleux, même 2 jours après. Un peu comme un pain d’épices. D’ailleurs je vous conseille de le préparer la veille de sa dégustation.
Vous pouvez opter pour d’autres nappages : sauce chocolat, cacahuète, café, crème anglaise à l’orange…
Je vous sers une ~~grosse~~ petite part ?

Bundt cake au potimarron #vegan

Pour un bundt cake ou 2 cakes

Ingrédients secs :
200 g farine T80
170 g farine T65
80 g poudre d’amande
130 g sucre complet (si vous ne faites pas le glaçage, il faudra augmenter la quantité de sucre à 180 g au moins)
3 càc poudre à lever (11 g)
1 càc bicarbonate
2 belles pincées de sel
3 càc de cannelle (+/- selon goûts : beaucoup chez nous)
1 càc gingembre moulu
1 pincée de muscade
OU : remplacer les épices par des épices à pain d’épices

Ingrédients humides :
300 g de purée de potimarron bien sèche
60 à 100 g d’huile d’olive (60 g pour moi. À doser selon votre goût / gourmandise)
350 g lait végétal
1 càs vinaigre de cidre
1 càs vanille liquide bio (pas l’extrait)

Glaçage : (augmenter la quantité pour recouvrir davantage le gâteau)
70 g sucre glace
+/- 1 càs lait végétal (ou du jus d’orange pour un glaçage aromatisé)

Préchauffer le four à 180°C.

Mélanger les ingrédients secs dans l’ordre.
Dans un bol, mélanger les ingrédients humides.
Verser sur les ingrédients secs. Mélanger.
Verser la pâte dans le moule huilé.
Enfourner pour 55 min minimum (mon four cuit assez vite, il vous faudra sans doute plus de temps) : vérifier la cuisson avec un couteau.
Adapter le temps de cuisson si vous réalisez des cakes plus petits bien entendu.

Laisser refroidir.
Démouler.

Réaliser le glaçage : mettre très peu de lait au début, bien mélanger et ajouter du lait si nécessaire.
Répartir sur le gâteau ( sans l’étaler, il doit napper le gâteau naturellement, sinon il y aura des traces).